Chaque oeuvre que je peint sert à réparer un bout de vie

Une vision qui continue :

 

Bâtir des villages d’avenir pour les enfants les plus vulnérables.

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Mon engagement pour les enfants de la rue et les survivantes de guerre a été profond, concret et vécu sur le terrain. Au Congo, j’ai mené un projet pilote en construisant trois maisons écologiques avec les enfants eux-mêmes, basé sur l’autonomie énergétique (biogaz), l’agriculture et la reconstruction personnelle par le travail collectif.

Aujourd’hui, même si la situation ne me permet plus d’y retourner, mon rêve ne s’arrête pas. Mon expertise est solide : je sais comment créer un écosystème de résilience et d’apprentissage. J’ai vu de mes yeux ce que cela produit.

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Mon appel reste le même : construire des villages autonomes pour les enfants les plus démunis, orphelins, enfants des rues, laissés, méprisés et abandonnés.  En les impliquant dès le départ dans la construction de leur propre lieu de vie.

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Mon ambition : fonder la première école africaine de l’entrepreneuriat agricole pour enfants, où l’on apprend la construction de leur futur habitation, en cultivant, en observant, en transformant, en vendant. Chaque enfant y est responsabilisé, accompagné, et bâtit dès le plus jeune âge les bases d’un avenir digne.

 

Mais reconstruire des vies ne s’arrête pas aux murs et à la survie : c’est aussi transmettre un savoir, une dignité, une capacité à créer. À côté de la cultivation de la terre et de construction ainsi que les et des projets éducatifs avec les enfants, je soutiens également des survivantes de guerre, que notre association à formée à la taille des pierres précieuses. À travers ce geste de patience et de précision, elles redonnent forme à leur propre vie.

 

Un village qui soigne, un village qui forme, un village qui révèle.
 

Je cherche aujourd’hui des partenaires engagés pour faire éclore cette vision ailleurs en Afrique, là où la terre, la dignité et la vie peuvent renaître ensemble.